Albatros Private Office, family office situé à Bruxelles
Face à ce nouveau défi, ces investisseurs se retrouvent bien souvent face à une multitude de gestionnaires et conseillers en tout genre, n’ayant pas de vue globale de la situation patrimoniale familiale, ne se concertant pas nécessairement, ou ne se comprenant simplement pas. Et puis, qu’en est-il de leur approche ? Est-elle à la fois objective, prospective et cohérente ?
Le concept de family office a fait son apparition aux Etats-Unis à la fin du 19ème siècle lorsque des familles aisées décidèrent de mettre sur pied une structure ad hoc qui aurait pour seule vocation de contrôler certains aspects de la gestion de leur patrimoine, de défendre les intérêts de la famille et de coordonner sa politique de philanthropie.
Aujourd’hui, de nombreuses familles choisissent de confier une ou plusieurs facettes de la gestion de leur patrimoine à une équipe de spécialistes, externe à la famille, offrant de tels services de family office.
- D’organiser et de structurer le patrimoine global des familles de façon objective, prospective et cohérente,
- Dans une vision trans-générationnelle.
Son métier : un métier de conseil
- Conseil stratégique,
- Conseil opérationnel,
- Conseil familial.
Ses qualités indispensables :
- La compétence,
- La discrétion,
- L’objectivité,
- La transparence,
- La liberté dans le choix des solutions proposées ainsi que des partenaires.
Le family office est le compagnon de l’investisseur. Non seulement pour toute sa vie, mais également au-delà. Il doit rendre la vie de l’investisseur et des membres de sa famille plus facile, se chargeant de trouver une solution à tous les problèmes et des réponses aux multiples questions qui peuvent surgir et qui ont trait, de près ou de loin, au patrimoine familial.
Son métier doit être d’aider les familles à :
- Décider, notamment en simplifiant ce qui est complexe
- Assurer la mise en œuvre opérationnelle de leurs décisions et la faciliter1, puis
- En assurer le suivi
- Accompagner la transmission de leurs actifs et de leurs valeurs dans le temps
Enfin, il doit constituer une véritable force de négociation au service de ses clients.
1Il la facilite par exemple, et sans que ce soit exhaustif, comme intermédiaire en produits d’assurance vie.
La Loi veut parvenir à son objectif de protection des clients de deux manières. D’une part, par le biais d’un contrôle à l’accès à la profession de planificateur financier. D’autre part, en établissant des règles de conduite applicables :
- aux planificateurs financiers indépendants et
- aux entreprises réglementées, tels que notamment les courtiers en assurances, qui fournissent des consultations en planification financière.
En ce qui concerne l’accès à la profession, le législateur a souhaité que toutes les personnes qui entendent exercer, à titre professionnel et habituel, l’activité de consultation en planification financière (c.-à-d. les planificateurs financiers) soient soumises à une obligation d’agrément soit sous le couvert du nouvel agrément, soit comme entreprise réglementée (établissements de crédit, entreprises d’assurance, entreprises d’investissement, intermédiaires en assurances ou en produits bancaires, …) comme l’est Albatros Private Office. C’est donc en tant que courtier en assurances que nous sommes autorisés à être « planificateur financier ». Nous ne sommes toutefois pas un « planificateur financier indépendant » dans la mesure où nous avons le statut d’« intermédiaire en assurances » agréé par la FSMA, les deux statuts étant incompatibles.
La FSMA est chargée de contrôler le respect continu des conditions prévues dans le cadre de la loi du 25 avril 2014 et de veiller au respect des règles de conduite de l’activité de planificateur financier.
Enfin, précisons encore qu’Albatros Private Office n’est pas non plus un « Conseil fiscal certifié » au sens des articles 6 et 7 de Loi relative aux professions d’expert-comptable et de conseiller fiscal du 17 mars 2019.